Aider les autres (2/4) : Travailleurs pauvres

L'équipe SOS Observateurs

Dans la deuxième édition de notre blog sur nos partenariats, nous vous présentons la fondation SOS Beobachter. Elle constitue pour nous l'organe de contrôle pour toutes les personnes touchées par la pauvreté, mais qui ne reçoivent pourtant pas d'aide financière - malgré leur activité professionnelle.

Nous étions déjà en contact avec Beat Handschin depuis longtemps. Par le biais de la fondation SOS Observateurs, nous avons déjà pu apporter de nombreux ordinateurs portables là où aucune autre aide financière ne peut être accordée. Nous recevons régulièrement des demandes que nous ne pouvons pas évaluer de manière professionnelle en raison de cette situation initiale. Nous avons donc décidé qu'à l'avenir, nous traiterions ces demandes exclusivement par le biais de notre partenariat.

Comment cela fonctionne-t-il avec la fondation SOS Beobachter ?

En règle générale, nous dirigeons les demandes pertinentes directement vers un formulaire de demande adapté, qui peut ensuite être rempli et envoyé à la fondation. Les informations relatives à la situation financière ainsi que les raisons pour lesquelles un ordinateur portable est nécessaire y sont indiquées.

Une fois la demande déposée, il faut compter entre quatre et six semaines pour qu'elle soit examinée. Si la demande est acceptée, il ne reste plus que quelques jours avant que l'ordinateur portable ne soit livré par notre intermédiaire.

Comment ça s'est passé jusqu'à présent ?

Nous avons demandé à Beat Hanschin de répondre à quelques questions sur notre collaboration jusqu'à présent. Beat Handschin est notre principal interlocuteur à la fondation SOS Beobachter.


Que fait en fait la fondation SOS Beobachter ?

La fondation SOS Observateurs soutient, grâce à des dons, des personnes vivant en Suisse et touchées par la pauvreté. L'aide est apportée de manière subsidiaire. Cela signifie que pour chaque demande, on vérifie si les pouvoirs publics ou une assurance sociale ne doivent pas prendre en charge quelque chose, par exemple. En outre, l'aide est affectée à un but précis et doit, dans la mesure du possible, résoudre ou atténuer durablement une détresse. Chaque année, environ 2 500 demandes sont traitées.

Dans quel contexte avez-vous reçu des demandes d'ordinateurs portables jusqu'à présent ?

Ces demandes sont presque toujours liées à une formation ou à un perfectionnement. Grâce à une formation ou à un perfectionnement, il peut être possible pour les personnes en situation de pauvreté de sortir durablement de la pauvreté. Aujourd'hui, cela n'est pratiquement plus possible sans ordinateur portable. Mais s'occuper de ses propres affaires administratives ou chercher un emploi est aujourd'hui pratiquement impossible sans ordinateur - à plus forte raison à l'époque de Corona.

Pourquoi travaillez-vous maintenant avec wLw ?

Nous recevons de très nombreuses demandes d'ordinateurs portables. Souvent, les personnes qui cherchent de l'aide se font une idée erronée des exigences en matière d'appareils, qui sont nécessaires pour des applications simples. Pour Internet, le courrier électronique, etc., des appareils simples suffisent généralement.

Comme nous utilisons les dons qui nous sont confiés de la manière la plus économe et la plus judicieuse possible, nous avons financé dans la plupart des cas des appareils avantageux et adéquats. Grâce à wLw, nous pouvons utiliser nos dons de manière encore plus ciblée et nous appuyer sur un partenaire fiable.

Comment s'est déroulée la coopération jusqu'à présent ?

La collaboration se déroule très bien et sans complications. Nous recevons de très nombreux retours positifs de la part des personnes en quête d'aide à qui nous avons procuré un appareil d'occasion via wLw.

Qu'attendez-vous de cette collaboration pour l'avenir ?

C'est inspirant de travailler avec une organisation nouvellement créée qui s'engage avec une idée durable pour les personnes touchées par la pauvreté. Nous nous réjouissons de pouvoir continuer à profiter mutuellement de nos efforts à l'avenir.


Nous aussi, nous nous réjouissons beaucoup des belles histoires que nous pourrons créer avec la fondation. Le partenariat conclu jusqu'à présent est à nos yeux une étape importante pour aider le plus rapidement possible là où il n'est pas possible d'aider autrement. Merci de nous rejoindre ! 🙂

- Tobias Schär (Fondateur et président "Wir lernen weiter"))


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